mardi 24 novembre 2020

Clifford Smith

On me dit souvent que dans mes textes je fais de l'analyse sociologique, un peu de psychologie et un peu de psychanalyse de temps en temps, alors que non, il n'y a que Freud qui faisait de la psychanalyse, que les sociologues qui analysent l'être humain dans son milieu social et  que des psychologues qui font de la psychologie. Moi, je m'offre un self-service exceptionnel, un service après actes qui me sert d'auto-critique à moi-même, et cela m'aide à voir les choses qui m'entourent d'une clarté exceptionnelle.
Cette auto-critique n'est que le fruit d'une éducation de vision. Alors, qu'est ce qu'une éducation de vision?
L'être humain, fait face presque chaque heure de sa journée à des décisions binaires, une situation dans laquelle on est obligé de choisir. Dans une semaine, du lundi au vendredi, on passe plus ou moins 120 heures à prendre des décisions , entre dormir à  telle heure et se réveiller à telle heure, entre quoi manger, quoi faire, qui rencontrer, donc en quelque sorte on est l'élément déclencheur de chaque situation vécue au cours de ces 120 heures. Généralement, on vit sous influence, ça c'est vrai mais après une réflexion approximativement raisonnable, on est aussi l'influence pour quelqu'un d'autre. Cette influençabilité, soit acquise ou émise, n'est que le fruit de nos propres décisions, car on a toujours le contrôle sur nous-mêmes d'abord et ensuite une maîtrise partielle sur les autres qui forment l'intégralité de notre entourage, voire notre environnement de vie. Récapitulons ces quelques idées, ces petites notions subjectives, et disons que l'être humain passe, ses journées, ses semaines, ses mois, ses années, à prendre et à reprendre des décisions formant son parcours de vie sur toutes les échelles. Une décision précise, une attitude adoptée, valent des fois un pas vers l'avant, d'autres fois deux pas vers l'arrière, tout dépend de la situation dans laquelle on est. Pour réussir à avoir une éducation de vision, et un esprit d'auto-critique, il ne faut jamais perdre son repère ou ses repères. C'est relatif à chacun. Et notre jalon ici, c'est l'éducation de vision, un terme propre à Jonsmoke. Une notion contenant deux mots: éducation et vision. Une certaine équivalence entre ces deux mots nous engendre ce qu'est l'éducation de vision. Car une bonne éducation donne naissance à une vision claire, ainsi qu'une vision éclaircie forme une éducation optimale. Le tout est basé sur une ou plusieurs décisions précises générées par une auto-critique. Pourquoi adopter cette éducation et ces manières alors qu'on peut vivre tout simplement ? Une bonne question à laquelle l'an 2020 nous a  répondu. On passe une année exceptionnelle à cause de cette pandémie qui connaîtra peut-être sa fin bientôt, chose qu'on espère tous_sauf que cette année de crise et d'incertitude a été une leçon pour 7,8 milliards de personnes sur la planète terre. Alors, c'est là que surgit le besoin d'avoir une vision, une éducation, et une discipline qu'est l'auto-critique. Nat King Cole a une chanson qui s'appelle "I love you for sentimental reasons" et Jonsmoke  a un procédé intitulé "éducation de vision" pour des raisons de gestion des temps durs, ou doux, tout dépend de votre vision.

vendredi 24 avril 2020

Lyriciste

Je n'ai pas écris depuis le 25 avril 2019. Un an que je n'ai pas laisse le temps a mes doigts pour transformer ce que j'avais au niveau de mon cerveau en des mots, des phrases, ou des morales peut-être. Bref, je crois que j'avais tout écrit dans ma tête, et c'est le moment pour que je recopie tout ça sur du propre. Mais attendez, si je suis entrain de recopier sur le propre maintenant c'est que ma mémoire n'est qu'un sale brouillon ? ou ma mémoire n'est qu'un bloc-note que je vais jeter a la fin de cet article ? Attendez s'il vous plait, peut-être que ma mémoire n'est qu'un tableau a craie, c'est pour ça que souvent j'ai les souvenirs un peu poussiéreux. Bref je ne vais pas parler de mes souvenirs, souvent poussiéreux. D'ailleurs on n'a pas le temps pour les nettoyer et on les aime comme ils sont, vintage.
Je crois que je n'ai pas écris depuis l'an dernier parce que les événements que j’étais entrain de vivre étaient a une vitesse d'un débit 5G alors que moi_smartphone Samsung S4_ était loin de fonctionner avec un haut débit. Bon, la métaphore est un peu sans gout mais c'est voulu cher lecteur. Je te prépare pour une nouvelle phase de l'article: la phase de la réalité, la ou les métaphores n'ont pas de place. J'ai subi le choc de quitter ma ville natale. J'ai choisi le mot choc car c'est celui qui convient le plus a une telle situation. Mes ambitions dépassaient et dépassent toujours les notions de la réalité en termes d'endroits et d’époques, et je ne me suis jamais arrêté sur des détails pareils. Et c'est pour cela que j'ai toujours ignorer l'aspect réel du lieu qui est susceptible de changer en n'importe quel instant de la vie de l'individu pour traduire ses ambitions et surtout ses idées en réalité. Escobar a cite des mots a propos de sa ville qui m'ont vraiment marque, et il a dit:"Medellín ne va jamais me trahir, c'est ma ville". J'essaye de résumer les faits, donc a vous de sentir les détails, je crois en vous. La séparation est dur, s'habituer c'est encore plus dur.
J'ai jamais essaye de suivre un cheminement calcule dans mes écrits ni avoir un texte avec intro, transition et tout ce qui va avec donc acceptez ces deux lignes comme une transition a ce qui va suivre.
D'abord si je dois définir ma vie, je vais la définir comme suit: stable de façon chaotique. Croyez-moi le sens de la vie c'est qu'elle n'a aucun sens. J'ai passé presque un an entrain d'analyser les faits, les circonstances, les détails de mon quotidien, mes actions, mes réactions..Je n'ai trouve aucune logique exacte mais a la fin de chaque jour, chaque semaine, chaque mois, je trouve que tout cela a un sens dans la continuité de nos vies. Chaque départ est destine a avoir une arrivée, chaque fin nécessite un début quelque part dans l'histoire. La vie c'est un peu comme extraire l’idée principale d'un écrit, on doit lire et relire plusieurs fois pour finalement avoir une idée conductrice.
J'ai changé de ville, je me suis senti comme un nouveau né avec l'esprit d'un adulte. J'ai ressenti le manque d'affection que je recevais chaque jour de la part de mon entourage. J'ai cherche a combler ce manque mais j'ai pas réussi, donc j'ai su tout de suite qu'il fallait vivre avec. J'ai compris pourquoi on sourit moins lorsqu'on est loin de chez soi et surtout loin de ses parents. J'ai bien compris les conseils des grands de mon quartier avec qui j'ai passe mon enfance. J'ai crée mes propres théorèmes sur la vie, mes propres règles de conduite, que je changeais chaque matin en me réveillant en retard. J'ai décide de passer des jours avec joie et des semaines sans. J'ai fortement su qu'une vie sans amour n'est pas une et surtout je précise que l'amour n'est pas juste celui du sexe oppose, on doit d'abord apprendre a aimer soi-même, et merde on peut aimer une plante(j'adore mon cactus). Finalement, Je suis très content d’être en vie ainsi que mes proches a l’ère de la pandémie.
Excusez mes idées anarchiques, je crois perdre le talent d’écrire. Mais je suis oblige d’écrire car c'est ma seule thérapie, tel un respirateur de réanimation pour un malade du Covid-19.

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Ayoub Belgasmi

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L'art et la manière, trop peu d'artistes.