dimanche 19 novembre 2023

Billet d'amour.

 Ce qui suit est véridique, 


Dans le hall d'un hôtel cinq étoiles à Casablanca à 4:56 du 19 novembre 2023, j'ai décidé d'écrire un mail. 

Chère bien-aimée, 

Je t'écris ni dans l'espoir d'avoir un retour de ta part, ni dans l'espoir même de croire que tu vas lire ce mail. Je voulais juste t'informer que je vais bien, et que je ne manque de rien d'essentiel, je dors peu mais je dors quand même, je mange bien et je suis bien entouré et cela s'arrête là. Le reste du temps est consacré à un débat entre moi et moi-même, entre toi et moi, même si on ne parle pas concrètement mais l'absurdité dans laquelle tu m'as laissé vivre est parlante, une absurdité multiple, celle dans laquelle t'étais présente et celle que je vis seul. La collision produite par l'affrontement de nos deux caractères dangereux a crée une histoire très étrange pour quelqu'un de normal puisse la comprendre. Finalement et je ne le pense pas assez, j'étais ce quelqu'un qui n'as pas pu comprendre. On ne peut choisir qui aimer ni comment le faire mais on peut gravement faire le choix de ne plus aimer. C'était difficile, mais il fallait qu'un caractère gagne. Le plus fort. Une force que t'as reconnue qu'à la dernière minute. 

Je t'écris encore; pour me rendre le code de mes sentiments, car j'ai peut-êre fait le choix de te laisser et partir mais je n'ai fait aucune précaution, en laissant le tout chez toi. Et le dilemme, c'est que je n'ai envie de retourner à mon état d'amoureux car je me déteste en ayant cette attitude de pouvoir tout perdre sauf toi. Je déteste mon état de jalousie agressive mais comment t'expliquer que je ne peux pas aimer autrement. Comment t'expliquer que lorsque je suis tombé amoureux de toi j'ai eu la croyance totale qu'il n'existait sur terre qu'une seule femme qu'est toi. Trop d'amour et de jalousie. 

Je t'écris encore une fois pour te dire que ce n'est pas la dernière fois dans laquelle je vais t'adresser mes sincères pensées, d'ailleurs comme je l'ai toujours fait. Ton amour a toujours était artistique et mes lignes pour toi le seront aussi. 

Généralement à force de penser à toi, à nous et à de milliers d'autres sujets en même temps je me fatigue et je rentre dormir à une heure où les gens normaux se prépare pour se réveiller Mais est ce que dans cette vie être normal est la norme ? 

Avec mes sincères salutations, respects et amour surtout. . 

lundi 14 novembre 2022

RECOVERY

 Ca fait très longtemps que je n'ai pas écrit, que je n'ai pas entretenu cette relation qui existe entre le clavier et mes doigts. Un sport physico-mentale que je n'ai pas pratiqué depuis un bon moment. Par contre j'écrivais dans ma tête, et j'archivais.

Quand vous vous regardez dans le miroir, qu'est-ce que vous voyez ? 

Quand vous pensez à demain, trouvez-vous qu'il est loin ? 

Développons des réponses à ces deux questions, d'après ma propre perception pour la chose. 

Quand on se regarde dans le miroir, généralement on est face à deux personnes, celle que nous croyons être et celle que les gens confrontent. Deux personnes identiques avec une différence absolue entre ce que nous sommes et ce les  autres pensent que nous le sommes. Quand je me vois le matin dans le miroir, je vois quelqu'un en manque de sommeil, fatigué et qui a encore besoin de récupérer une bonne part de sommeil. Au milieu de la journée si mon chemin croise un autre miroir a part celui du matin, je repense au mien et je me dis qu'il a besoin de se nettoyer, ou peut-être qu'on s'aperçoit meilleur dans des miroirs qui nous n'appartiennent pas d'après le fameux dicton "The green is always greener on the other side". Le soir je me brosse les dents face à mon miroir qui n'est toujours pas encore nettoyé, et je me projette déjà dans le visage que j'aurai le lendemain matin avec encore plus de manque de sommeil et plus de fatigue. Et en parlant de demain, j'essayerai de répondre à la deuxième question. 

Je pense pas à demain, parce que demain c'est loin. C'est sur cette phrase que se termine la chanson mythique d'IAM, demain c'est loin. Et du même point de vue que je partage avec Akhenaton, j'essaye de ne plus penser à demain, car je le faisais avant, alors que ça ne m'as pas servi à grand-chose, à part se fatiguer d'avantage et avoir l'air encore plus esquinté le matin. Penser à l'avenir, ne change rien en cet avenir même. Par contre, déguster l'instant présent, le vivre et le ressentir, permet d'avoir un "demain meilleur", telle est l'équation, car en aucun cas, personne n'as la certitude de vivre demain ou même l'instant qui suit la lecture de cet article. 

C'est tout pour moi, j'ai essayé de répondre à mes propres questions à ma propre façon. 

J'ignore l'existence de ce mot "physico-mentale", je vous laisse le soin de faire des recherches et de me critiquer, le temps que je prépare un prochain épisode de mon podcast. 

PS: N'oubliez pas de sourire face à votre miroir qu'il soit propre ou non.      

lundi 12 avril 2021

Questions...

J'écris à 3h50 du matin, tel un fou qui traîne d'une ruelle à une autre. J'écris car moi aussi je n'arrive pas à comprendre. On n'écrit jamais par des réponses, on écrit surtout par des questions. Je n'arrive pas à tout comprendre, et c'est ce qui me pousse à écrire. Des fois la réponse, nous la possédons par défaut mais comme on ne se pose pas la bonne question, on part chercher les réponses ailleurs.

Le sens d'orientation est important dans la vie. On est obligés de s'orienter dans le bon sens du questionnement afin d'obtenir le maximum de réponses correctes. Nos questions sont souvent influencées par notre perspective de la chose. Alors qu'une perspective c'est relatif, donc nos questions se relativisent aussi, ce qui nous empêche de poser la bonne question. Et comme suite logique, l'obtention d'une réponse sujette à l'erreur. Malheureusement, on choisit inconsciemment le mauvais sens toujours en se posant une question. 

Généralement, on commence à se poser les bonnes questions lorsqu'on commence à mieux se connaître. Mieux on approfondit la connaissance avec soi-même, meilleure est la question qu'on se posera. Pourquoi je stresse est une mauvaise question. Est-ce que je stresse pour quelque chose qui vaut la peine de stresser ou je stresse pour rien. Telle est la bonne question. Après toute cette analyse reste relative. 

Relatif est un mot que j'aime bien, vu que tout est presque relatif dans cette vie, à part les maths. Dans une théorie soumise à une science exacte, on aura une réponse qui sera à son tour soumise à deux possibilités, soit une confirmation, donc c'est vrai, soit une infirmation, donc c'est faux, et entre les deux rien n'existe. Alors que dans la vie humaine, la relativité de la chose montre l'existence d'une infinité de réponses et de possibilités entre ce qui est vrai et ce qui est faux. Cette marge énorme entre le vrai et le faux dans la vie, laisse l'être humain poser différentes questions bonnes et mauvaises pour arriver à comprendre un peu ce qui se passe autour de lui. 

La question restera toujours théorique, donc elle est constante en quelques sortes. Une réponse est praticable et donc variable. Chacun pratique ses réponses à sa manière.


lundi 15 mars 2021

Legalize happiness.

Un clavier, des lettres et des mots, le plein d'idées et d'émotions, l'envie de tout transmettre, et aussi une envie de ne rien écrire. Une méchanceté gratuite envers moi-même. Je ne céderai pas, je vais écrire. Je pense loyalement que je suis une personne qui s'inspire trop, sans aucun retour et concret et productif. J'essayerai de corriger cela plus tard, maintenant il faut écrire. 
Sur l'échelle du succès, je pense qu'une première phase a franchir c'est celle de gagner son propre combat vers la paix avec soi-même. Subir ses propres actes à une certaine auto-critique régulièrement, rend plus sain et plus heureux. Une sorte de sagesse sans censure. Pour simplifier, c'est vivre humainement. 
Vivre l'instant présent, croire en un maintenant plus qu'en un après. A mon avis les gens tristes sont ceux qui n'ont pas bien appris a conjuguer. Car la joie ne s'exprime effectivement qu'a l'instant présent. C'est a ce moment là que je suis le plus épanoui, les doigts sur le clavier, les idées circulent en harmonie, alors que plus tard je ne saurai même pas si je serai en vie. 
Le vrai problème auquel on fait face tous, c'est qu'on ne sait pas comment être heureux. Car dans la vie rien n'est acquis, un moment de joie ne se déguste que par un effort. Je crois qu'on est des paresseux, mais joie et paresse ça ne rime pas, alors faisons un effort pour être heureux, adoptons un "Happy lifestyle". Un terme anglais, pour les gens qui me lisent depuis le Canada. 
Et si je parle d'allégresse, ça ne veut pas dire que je suis quelqu'un d'heureux. 
On peut adopter des gestes barrières pour rester heureux. S'éloigner le maximum possible des ondes négatives et s'éloigner encore plus des gens qui les émettent. Un masque filtrant pour le cerveau contre les fausses idées, les mauvais jugements, les arrière-pensées, la peur, l’insouciance, l'indifférence et la liste est encore longue. Ayant sur nous un antiseptique à usage spirituel, se laver le corps est nécessaire, se laver l'âme l'est encore plus, car le niveau d’hygiène n'est pas le même.
Le tout est une courte histoire de perspective. Changez votre perspective. Car c'est le seul raccourci entre vous et vous en meilleur. Et apprenons à être heureux, le reste ça s'apprend sur Youtube. 
En parlant de Youtube, je pense que plus tard on va censurer mondialement les gens qui vont parler sur les réseaux sociaux et leur effets négatifs sur la santé mentale de l'être humain. Le virtuel existe en s'appuyant sur le monde réel, et il est difficile d'établir un lien de hiérarchie entre les deux mondes. L'équilibre impose la non existence de cette hiérarchie. L'être humain est censé consommer modérément. 
Je crois écrire, je crois rédiger mon billet d'humeur, ou un article, et finalement le produit est un texte anamorphique. Maintenant, tout dépend de votre perspective.  




mardi 24 novembre 2020

Clifford Smith

On me dit souvent que dans mes textes je fais de l'analyse sociologique, un peu de psychologie et un peu de psychanalyse de temps en temps, alors que non, il n'y a que Freud qui faisait de la psychanalyse, que les sociologues qui analysent l'être humain dans son milieu social et  que des psychologues qui font de la psychologie. Moi, je m'offre un self-service exceptionnel, un service après actes qui me sert d'auto-critique à moi-même, et cela m'aide à voir les choses qui m'entourent d'une clarté exceptionnelle.
Cette auto-critique n'est que le fruit d'une éducation de vision. Alors, qu'est ce qu'une éducation de vision?
L'être humain, fait face presque chaque heure de sa journée à des décisions binaires, une situation dans laquelle on est obligé de choisir. Dans une semaine, du lundi au vendredi, on passe plus ou moins 120 heures à prendre des décisions , entre dormir à  telle heure et se réveiller à telle heure, entre quoi manger, quoi faire, qui rencontrer, donc en quelque sorte on est l'élément déclencheur de chaque situation vécue au cours de ces 120 heures. Généralement, on vit sous influence, ça c'est vrai mais après une réflexion approximativement raisonnable, on est aussi l'influence pour quelqu'un d'autre. Cette influençabilité, soit acquise ou émise, n'est que le fruit de nos propres décisions, car on a toujours le contrôle sur nous-mêmes d'abord et ensuite une maîtrise partielle sur les autres qui forment l'intégralité de notre entourage, voire notre environnement de vie. Récapitulons ces quelques idées, ces petites notions subjectives, et disons que l'être humain passe, ses journées, ses semaines, ses mois, ses années, à prendre et à reprendre des décisions formant son parcours de vie sur toutes les échelles. Une décision précise, une attitude adoptée, valent des fois un pas vers l'avant, d'autres fois deux pas vers l'arrière, tout dépend de la situation dans laquelle on est. Pour réussir à avoir une éducation de vision, et un esprit d'auto-critique, il ne faut jamais perdre son repère ou ses repères. C'est relatif à chacun. Et notre jalon ici, c'est l'éducation de vision, un terme propre à Jonsmoke. Une notion contenant deux mots: éducation et vision. Une certaine équivalence entre ces deux mots nous engendre ce qu'est l'éducation de vision. Car une bonne éducation donne naissance à une vision claire, ainsi qu'une vision éclaircie forme une éducation optimale. Le tout est basé sur une ou plusieurs décisions précises générées par une auto-critique. Pourquoi adopter cette éducation et ces manières alors qu'on peut vivre tout simplement ? Une bonne question à laquelle l'an 2020 nous a  répondu. On passe une année exceptionnelle à cause de cette pandémie qui connaîtra peut-être sa fin bientôt, chose qu'on espère tous_sauf que cette année de crise et d'incertitude a été une leçon pour 7,8 milliards de personnes sur la planète terre. Alors, c'est là que surgit le besoin d'avoir une vision, une éducation, et une discipline qu'est l'auto-critique. Nat King Cole a une chanson qui s'appelle "I love you for sentimental reasons" et Jonsmoke  a un procédé intitulé "éducation de vision" pour des raisons de gestion des temps durs, ou doux, tout dépend de votre vision.

vendredi 24 avril 2020

Lyriciste

Je n'ai pas écris depuis le 25 avril 2019. Un an que je n'ai pas laisse le temps a mes doigts pour transformer ce que j'avais au niveau de mon cerveau en des mots, des phrases, ou des morales peut-être. Bref, je crois que j'avais tout écrit dans ma tête, et c'est le moment pour que je recopie tout ça sur du propre. Mais attendez, si je suis entrain de recopier sur le propre maintenant c'est que ma mémoire n'est qu'un sale brouillon ? ou ma mémoire n'est qu'un bloc-note que je vais jeter a la fin de cet article ? Attendez s'il vous plait, peut-être que ma mémoire n'est qu'un tableau a craie, c'est pour ça que souvent j'ai les souvenirs un peu poussiéreux. Bref je ne vais pas parler de mes souvenirs, souvent poussiéreux. D'ailleurs on n'a pas le temps pour les nettoyer et on les aime comme ils sont, vintage.
Je crois que je n'ai pas écris depuis l'an dernier parce que les événements que j’étais entrain de vivre étaient a une vitesse d'un débit 5G alors que moi_smartphone Samsung S4_ était loin de fonctionner avec un haut débit. Bon, la métaphore est un peu sans gout mais c'est voulu cher lecteur. Je te prépare pour une nouvelle phase de l'article: la phase de la réalité, la ou les métaphores n'ont pas de place. J'ai subi le choc de quitter ma ville natale. J'ai choisi le mot choc car c'est celui qui convient le plus a une telle situation. Mes ambitions dépassaient et dépassent toujours les notions de la réalité en termes d'endroits et d’époques, et je ne me suis jamais arrêté sur des détails pareils. Et c'est pour cela que j'ai toujours ignorer l'aspect réel du lieu qui est susceptible de changer en n'importe quel instant de la vie de l'individu pour traduire ses ambitions et surtout ses idées en réalité. Escobar a cite des mots a propos de sa ville qui m'ont vraiment marque, et il a dit:"Medellín ne va jamais me trahir, c'est ma ville". J'essaye de résumer les faits, donc a vous de sentir les détails, je crois en vous. La séparation est dur, s'habituer c'est encore plus dur.
J'ai jamais essaye de suivre un cheminement calcule dans mes écrits ni avoir un texte avec intro, transition et tout ce qui va avec donc acceptez ces deux lignes comme une transition a ce qui va suivre.
D'abord si je dois définir ma vie, je vais la définir comme suit: stable de façon chaotique. Croyez-moi le sens de la vie c'est qu'elle n'a aucun sens. J'ai passé presque un an entrain d'analyser les faits, les circonstances, les détails de mon quotidien, mes actions, mes réactions..Je n'ai trouve aucune logique exacte mais a la fin de chaque jour, chaque semaine, chaque mois, je trouve que tout cela a un sens dans la continuité de nos vies. Chaque départ est destine a avoir une arrivée, chaque fin nécessite un début quelque part dans l'histoire. La vie c'est un peu comme extraire l’idée principale d'un écrit, on doit lire et relire plusieurs fois pour finalement avoir une idée conductrice.
J'ai changé de ville, je me suis senti comme un nouveau né avec l'esprit d'un adulte. J'ai ressenti le manque d'affection que je recevais chaque jour de la part de mon entourage. J'ai cherche a combler ce manque mais j'ai pas réussi, donc j'ai su tout de suite qu'il fallait vivre avec. J'ai compris pourquoi on sourit moins lorsqu'on est loin de chez soi et surtout loin de ses parents. J'ai bien compris les conseils des grands de mon quartier avec qui j'ai passe mon enfance. J'ai crée mes propres théorèmes sur la vie, mes propres règles de conduite, que je changeais chaque matin en me réveillant en retard. J'ai décide de passer des jours avec joie et des semaines sans. J'ai fortement su qu'une vie sans amour n'est pas une et surtout je précise que l'amour n'est pas juste celui du sexe oppose, on doit d'abord apprendre a aimer soi-même, et merde on peut aimer une plante(j'adore mon cactus). Finalement, Je suis très content d’être en vie ainsi que mes proches a l’ère de la pandémie.
Excusez mes idées anarchiques, je crois perdre le talent d’écrire. Mais je suis oblige d’écrire car c'est ma seule thérapie, tel un respirateur de réanimation pour un malade du Covid-19.

Résultats de recherche

Résultats Web 

jeudi 25 avril 2019

79L/984M

A mon lit: ta valeur est inestimable.
A mon oreiller: Sans toi, j'allais jamais avoir sur quoi poser ma conscience la nuit.
A mes habits: merci pour votre présence l'hiver, l’été vous êtes surtout inutiles.
A mon verre de café matinal: t'es unique, ne change jamais s'il te plaît.
A ma route quotidienne: je déteste répéter le même chemin chaque jour mais des fois on est oblige.
Aux gens que je croise: je ne vous connais surtout pas.
Au climat de ma ville: t'es autant bizarre que la ville même. Soit pas trop moody s'il te plaît.
A mon quartier: t'es vide d'âme par rapport a mon ancien quartier.
Au vendeur près de chez moi: t'es gentil mais des fois j'ai pas l'air de te sourire en retour, désolé.
A mon cartable Eastpak: Vraiment une garantie de 30 ans et sans ironie.
A mes lunettes de soleil: vous êtes un amour de chaque jour, paix et longue vie pour vous mes montures.
A chaque serveur de café: merci, mais d'où t'as eu un doctorat en psychologie ?
Aux verres: Désolé, mais je bois directement de la bouteille. Salud.
A mon cousin coiffeur: prendre le même client pour 20ans, énorme patience cousin.
A la fille que j'ai croise chez l'épicier: Je suis un ancien, vos nouvelles manières, je les ignore surtout.
A YouTube: pourquoi toutes ces publicités ? Y'en a marre, on veut la vidéo direct.
A mon passe: Merci mon cher maître.
Au présent: Only God can judge me
Au futur: je ne sais pas pourquoi je sens que t'es le présent mais en mode masque, dévoile toi frangin.
A Soolking: balance ton son avec Cheb mami, sinon je me désabonne de ton instagram. Attention Abderraouf.
Aux quartiers de ma ville: merci pour l'identité.
A Zidane: Je ne vois pas le drapeau sur le banc de touche, fais un effort Zizou.
A Abdelkader secteur: Ouksim bilah t'es le meilleur Comédien au monde.
A certaines filles: Faites la différence entre Open mind et Open legs.
A mon café d'après-midi: T'es un amouresso.
A Josephine: Reda est toujours sans papier, un peu de sympathie.
Au nombre de A utilisées dans chaque debut de phrase dans cet article: 28 ou 29 ce n'est pas beaucoup, quand même.
A mes ex-amis: Vous étiez bons mais apparement juste en mensonge.
A mes futurs amis: Bonne route.
A ma futur femme: Nbghik rbk sinon il faut savoir cuisiner, un minimum de connaissance est requis.
Aux couples qui passent de temps en temps aux cafés la ou je traîne souvent: arrêtez de montrer un fake love, un vrai couple n'a jamais le temps pour un café, le temps libre c'est pour les disputes.
A mes chaussures de running: en vous portant c'est le seul moment ou je sens le bonheur venir d'en bas du corps et non pas l'inverse.
A mon cerveau: concentre toi sur les examens s'il te plaît.
A mon agenda: T'es plus utile que ma propre mémoire.
Au chauffeur de taxi: Conduis correctement s'il te plaît et soit gentil avec les gens au passage piétons
Aux gens qui traversent la route lentement: Faites vite, le chauffeur de taxi a des airbags alors que vous non. Tant pis je ne vais plus sortir de chez moi de toute façon.
A la vie: Sale mensonge.
A la mort: Bon timing toujours. Chapeau.
A la nouvelle génération: Assumez.
Aux tunisiens: J'adore votre accent, mais pourquoi vous avez toujours l'air d'être dégoûtés en parlant ?
A Wary Nichen: Merci pour ton style d'humour et merci pour la vanne que je viens de te piquer sur les tunisiens.
Au déclic: Je suis fan de toi.
A ce blog: J'aurai jamais trouve a qui se confier, si ce n'était pas toi.
A la solitude: D'où tu tiens toute cette force et tout ce pouvoir ?
A ma réflexion: Des fois on t'admire des fois non mais on te respecte tout le temps.
Au mal: Sans toi on aurait jamais eu la chance de découvrir le bien
Au bien: merci d'avoir existe encore de nos jours
A souad massi: La femme.
A Jhonny depp: Fallait terminer la carrière après les pirates des caraïbes Capitaine Jack mais tu gères encore sur les pubs de Dior.
A GQ: dans un magazine y'a pas que la couv qui est importante.
Aux exemplaires de Telquel brûlés lors du sondage publie sur le travail du roi: Les résultats étaient très positifs pourtant RIP.
A ma zone de confort: si je mentionne un truc politique de plus je risque l'exil au pays des merveilles.
A alice: Excuse moi mais mon enfance s'est déroulée avec le ballon au pied dans la rue.
A mon ancien quartier: les mots ne suffiront jamais pour décrire.
A mon enfance: sacre parcours.
A mon collège prive: Pourquoi le gel était interdit ?
 A mon lycée: Je suis désolé pour les gens a qui j'ai fait mal, immense regret, j’étais un ado. Je le suis encore mais avec un brin de maturité en plus.
Aux gens qui me doivent de l'argent: Je vous rends la fin du mois. Problème de capitalisme et non pas le mien.
Aux gens riches: Profitez le maximum, sous la terre y'aura pas d'espace pour porter vos biens avec vous.
Aux gens pauvres: Révoltez vous contre Bill Gates.
Aux réseaux sociaux: Sales bâtards.
A instagram: je te vois de la même manière qu'un enfant voit son jouet et je te déteste de la même manière qu'un enfant déteste la nouvelle femme de son père.
A ma tombe: A Oujda, a cote des membres de ma famille.
A la suite de cet article: To be continued.







Ayoub Belgasmi

Ma photo
L'art et la manière, trop peu d'artistes.